L’année de pandémie s’est insérée dans la peinture de Marie Plante, au point où elle ne reconnaissait plus sa rive et où elle s’est mise à rêver d’une rive, de la rive de rêve.
Ce fut une recherche intérieure, un regard sur sa vie, sur les endroits où elle s’est posée. Un questionnement sur ce qu’elle voulait faire de sa vie. Comme l’oiseau, la rive est son milieu, son ancrage, mais le large et son autre rive l’appellent. Cet autre qui l’attire et la fait rêver!